Alimentation Papillomavirus
prestationsAlimentation pour prévenir le cancer du col de l’utérus
Chez les femmes, une infection au papillomavirus non traitée peut entraîner un cancer du col de l’utérus. L’adoption d’une bonne hygiène de vie est essentielle pour renforcer son système immunitaire et prévenir le développement de lésions cancéreuses. Votre nutritionniste à Paris vous accompagne dans la mise en place d’une alimentation saine et équilibrée pour rester en bonne santé.
Cancer du col de l’utérus : le rôle du papillomavirus
Les papillomavirus humains (HPV) sont des virus très contagieux, qui infectent la peau et les muqueuses. Il existe plus de 150 types de papillomavirus, répartis en deux catégories : les papillomavirus de la peau, qui engendrent des verrues bénignes ; et les papillomavirus génitaux. Ces derniers font partie des Infections Sexuellement Transmissibles (IST) les plus fréquentes dans le monde. Ils infectent les muqueuses génitales : col de l’utérus, vulve, vagin… Bien que la plupart des HPV soit bénignes, une vingtaine de papillomavirus peuvent entraîner des anomalies cellulaires, des lésions précancéreuses ou des cancers. Par exemple, les HPV de type 16 et 18 sont responsables de 70 % des cas de cancer du col de l’utérus chez la femme.
Prévenir le cancer du col de l’utérus grâce à l’alimentation
Environ 80 % des femmes sont exposées aux papillomavirus humains au cours de leur vie. La prévention du cancer du col de l’utérus est donc un véritable problème de santé publique. Plusieurs mesures ont été mises en place : la vaccination, qui vise à prévenir les infections par HPV, et le dépistage des lésions précancéreuses par frottis du col utérin, chez les femmes de 25 à 65 ans. Pour optimiser l’efficacité de ces mesures, il est essentiel de maintenir un système immunitaire fort grâce à une alimentation équilibrée, saine et riche en nutriments variés. Ainsi, en cas d’infection, l’organisme pourra mieux se défendre contre le virus.
Quelle alimentation pour se protéger contre le papillomavirus ?
Pour se protéger contre le papillomavirus et prévenir le cancer du col de l’utérus, il est nécessaire d’adopter une alimentation saine et variée. Pour cela, consommez des fruits et légumes, notamment crus pour une teneur optimale en vitamines et minéraux. Intégrez également à votre alimentation des grains entiers, des protéines maigres, des bonnes graisses (oléagineux, poissons gras…). Veillez à votre apport en vitamines A, C, D et E, essentielles au bon fonctionnement du système immunitaire. De même, le zinc et le sélénium sont des minéraux essentiels au maintien d’une immunité optimale.
Pour se protéger contre le papillomavirus, il est également important de prendre soin de son microbiote intestinal, qui joue un rôle majeur dans l’immunité. Pour cela, évitez les aliments transformés et faites la part belle aux prébiotiques et probiotiques. Evitez également le sucre raffiné : en effet, les cellules tumorales ont besoin de grandes quantités de glucose pour se développer. Limiter les produits contenant du sucre raffiné vous permettra de lutter contre le développement rapide de cellules précancéreuses.
Consulter un nutritionniste pour prévenir l’infection au papillomavirus
De nombreuses études ont confirmé le rôle de l’alimentation dans la prévention de l’infection au papillomavirus. Vous souhaitez vous protéger du papillomavirus pour réduire votre risque de cancer du col de l’utérus ? Contactez un diététicien-nutritionniste spécialisé dans le suivi des femmes pour mettre en place de bonnes habitudes alimentaires. Votre nutritionniste à Paris vous propose un programme alimentaire sur mesure, adapté à vos besoins, pour renforcer votre immunité et prévenir les carences nutritionnelles. En cas de surpoids, il vous proposera un rééquilibrage alimentaire pour retrouver votre poids de forme, garant d’une bonne immunité.
Consultez dès maintenant votre diététicien à Paris pour réaliser un bilan nutritionnel et bénéficier d’un accompagnement personnalisé pour renforcer votre système immunitaire et prévenir l’infection au papillomavirus.